Arbre dans la brume

PRESSE

Ce film captivant nous offre une vision rare et intimiste d’un monde en danger imminent de disparition.
— Susan Griffin, auteur de ‘A Chorus of Stones,’ ‘The Private Life of War,’ ‘Le Livre des Courtisanes,’ et de ‘Woman and Nature’
Avec de belles images et une narration émouvante, le film montre clairement que prendre soin de la faune et de la flore sont vraiment des questions de cœur et que rester connecté à la terre est vital pour notre compréhension de ce que signifie être humain.
— John Rife, Festival du film de Floride
Beau à pleurer… les personnages sont merveilleux. En proie aux difficultés, ils chérissent leurs animaux et leurs terres avec un espoir inspirateur.
— Bethany Jean Clement, ‘The Stranger,’ Seattle, WA
Rien de tel qu’un pas de côté pour découvrir la courbe d’un chemin, un regard extérieur pour voir ce que nous ne voyons plus. Une cinéaste américaine, Judith Lit, établie en Périgord depuis une quinzaine d’années… a pris son temps (quatre ans) pour observer, écouter, se fondre dans les silences, filmer les gestes transmis de génération en génération depuis cinq mille ans. Les lointains souvenirs de son enfance en Pennsylvanie où son père et son grand-père exploitaient une ferme ont afflué…et de ce télescopage intime et affectif est né ce beau voyage.
— Jean-Claude Raspiengeas, ‘La Croix’
Un film d’une grande sensibilité qui, au fil des saisons, montre la réalité d’un monde rural bien loin des grandes exploitations agricoles.
— Patrick Pautiers, ‘L’Écho de la Dordogne’
Un film incontournable pour tous ceux qui s’intéressent à la bonne chère et à l’origine des ingrédients.
— L. John Harris, collaborateur du ‘Zester Daily’
Comment de ce film, ne pas souligner la beauté des paysages repérés, la camera sensible, poètique et émotionelle qui traverse le Périgord.
— A. Champeaux, ‘L'Écho’
Regarder ce film est un plaisir de bout en bout.
— Brian Miller, ‘Seattle Weekly’
Ne vous y trompez pas, ce film, construit au fil des quatre saisons, ne parle pas que de pertes et de désillusions mais aussi de rebondissements teintés d’espoir.
— Anne Belchit, ‘Sud-Ouest’
Comment une Américaine de Pennsylvanie a-t-elle pu pénétrer aussi longtemps et comprendre à ce point une tribu silencieuse des contrées rurales dont la majorité des Français ignore la substance ? Plutôt que d’affirmer ce qu’il faut penser de l’évolution, APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS met en scène un vécu dans son paysage, des émotions sans larmes, des analyses rugueuses et de bon sens qui témoignent d’une endurance, d’une instinct et d’une intelligence à résister.
— Christian Séguin, ‘Portrait du mois, Sud-Ouest de Dimanche’
APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS, qui raconte la vie d’un petit village agricole, est tour à tour mélancolique, optimiste, et profond.
— Andrew Coffin, ‘Winter Park Movie Examiner,’ FL
Dans les décennies à venir, APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS pourrait servir de témoignage important de la transition du monde d’une époque à l’autre. Si nous sommes chanceux, le film inspirera également un sentiment d’urgence aux spectateurs d’aujourd’hui, alors qu’ils réfléchissent à ce qu’ils attendent de leurs systèmes alimentaires.
— Kristina Johnson, ‘Civil Eats,’ Prix d'excellence James Beard
Avec des détails fascinants, APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS capture la ténacité des gens qui ont pris une saison à la fois depuis des générations... Un hommage perspicace et lyrique à un mode de vie au bord de l’extinction.
— Festival du film de Floride
À une époque où les films sont simplistes dans leurs messages et manquent de subtilité, APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS oblige le spectateur à reconsidérer les coûts du ‘progrès’ grâce à un tissage habile de paysages pastoraux et de traditions agricoles fragiles. Les portraits des villageois demandent à être plus que l’écho d’un passé qui s’éloigne, car un petit village raconte une histoire globale.
— Philip Ackerman-Leist, Auteur, ‘Rebuilding the Foodshed: How to Create Local, Sustainable, and Secure Food Systems’
Un film qui montre les défis auxquels les fermes traditionnelles sont confrontées partout. Réaliste et sensible, il offre une image fidèle de la vie des familles agricoles qui luttent pour gagner leur vie en travaillant la terre. Il mérite un large public.
— Robert L. Carlson, ambassadeur spécial des Nations Unies, Année internationale de l'agriculture familiale
APRÈS L’HIVER, LE PRINTEMPS est plus qu’un documentaire. C’est un document pour l’avenir.
— Germinal Peiro, député à l'Assemblée nationale française, Secrétaire de l'agriculture du Parti socialiste

Articles de Presse

Winter Park Movie Examiner | Andrew Coffin, Winter Park Movie Examiner | PDF

Pick of Florida Film Festival | John Rife, Owner/Founder of East End Market | PDF

The Stranger's Guide to SIFF 2013 | Bethany Jean Clement, The Stranger | PDF

Whole Terrain Review and Interview with Judith Lit | PDF

La terre intime en péril | Christian Seguin, Sud Ouest | PDF

Sarlat, au plus profond de la terre et du coeur paysan | Franck Delage, Sud Ouest | PDF

Une passion pour la terre du Périgord | A. Champeaux, L'Echo | PDF

L'Action — Après l’hiver, le printemps en première canadienne à Joliette | Élise Brouillette | PDF

L’Echo St. Rabier — Une Américaine a filmé le Périgord | PDF

La Croix — Les quatre saisons en Périgord | Jean-Claude Raspiengeas | PDF

La Montagne Terrasson — L’Américaine filme la terre Corézienne | PDF

La Montagne — L'agriculture sous les feux de la rampe | PDF

Sud Ouest — Vit-on la fin d’une agriculture? | Anne Belchit | PDF